Richard Williamson

Richard Nelson Williamson, né le 8 mars 1940 en Angleterre, est un évêque traditionaliste, en particulier réputé pour son négationnisme.



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  • video Mgr Richard Williamson nie l'existence des chambres à gaz - Dans une interview à la chaîne publique de télévision suédoise SVT, Mgr Richard Williamson... (source : videos.nouvelobs)
  • Richard Williamson may refer to : Richard Williamson (bishop) (born 1940), bishop of the Society of St. Pius X; Richard Williamson (American football), ... (source : en.wikipedia)

Richard Nelson Williamson, né le 8 mars 1940 en Angleterre, est un évêque traditionaliste, en particulier réputé pour son négationnisme. Il appartient à la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X et a été ordonné prêtre puis sacré évêque sans mandat pontifical (donc de façon illicite aux yeux de l'Église catholique) par Mgr Lefebvre. Il a été excommunié pour cela sous le pontificat de Jean-Paul II, peine dont il a été relevé par Benoît XVI.

Il nia surtout à plusieurs reprises l'existence des chambres à gaz, et accusa les autorités américaines d'avoir organisé les attentats du 11 septembre 2001.

Jeunesse

Né dans une famille anglicane de trois enfants, diplômé de littérature de Clare College (Université de Cambridge), il a en premier lieu enseigné le français au Ghana de 1963 à 1965[1].

Converti de l'anglicanisme au catholicisme romain, reçu dans l'Église catholique en 1971, il envisagea brièvement une vocation de prêtre diocésain puis à la congrégation de l'Oratoire. Il entre au séminaire d'Écône, de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X en octobre 1972. Ordonné prêtre en 1976, il devient enseignant au séminaire d'Écône où il enseigne la métaphysique de saint Thomas d'Aquin. En 1983, il devient le directeur du séminaire Saint-Thomas-d'Aquin, lequel se transféra en 1988 de Ridgefield au Connecticut à Winona dans le Minnesota.

Le sacre et l'excommunication

Consacré le 30 juin 1988 par Mgr Marcel Lefebvre, excommunié latæ sententiæ, c'est-à-dire par le fait même de l'acte posé.

Le cardinal Bernardin Gantin, préfet de la Sacrée congrégation pour les évêques, décrète le 1er juillet 1988 par le décret Dominus Marcellus que Mgr Lefebvre a «posé un acte schismatique» en consacrant sans mandat pontifical. À l'appui de sa déclaration, il cite les canons 1382 et 1364-1 du Code de droit canonique (1983)  :

«L'Évêque qui, sans mandat pontifical, consacre quelqu'un Évêque, et de même celui qui reçoit la consécration de cet Évêque encourent l'excommunication latæ sententiæ réservée au Siège Apostolique.»

«L'apostat de la foi, l'hérétique ou le schismatique encourent une excommunication latæ sententiæ.»

Il déclare par conséquent excommuniés Mgr Lefebvre lui-même, Mgr de Castro-Mayer, l'évêque co-consécrateur, et les quatre nouveaux évêques dont Richard Williamson. Le lendemain, par le motu proprio Ecclesia Dei, Jean-Paul II rappelle aux fidèles que ceux qui «adhèrent formellement» au schisme encourent eux aussi l'excommunication. Aucun des évêques de la FSSPX ne se considère objet de l'excommunication.

Ministère après 1988

Après sa consécration, il reste directeur du séminaire Saint-Thomas d'Aquin, tout en accomplissant un ministère d'évêque : confirmation, ordination sacerdotale.

Il participe, en 1991, à l'ordination épiscopale de Licinio Rangel, successeur de Mgr de Castro-Mayer à la tête de l'Union Saint-Jean-Marie-Vianney.

Dès 2003, il est directeur du séminaire de La Reja en Argentine. Le 8 février 2009, la direction de la Fraternité le relève de ses fonctions, semble-t-il avec son accord, suite au retentissement médiatique de ses propos négationistes[2], [3].

Négationnisme

L'interview

Le 1er novembre 2008, Richard Williamson est présent au séminaire de Zaitzkofen, localisé sur la commune de Schierling, proche de Ratisbonne en Bavière, où il procède à l'ordination du premier diacre suédois de la Fraternité Saint-Pie-X[4], [5]. Suite à la cérémonie religieuse, il accorde [6] un entretien à la télévision suédoise SVD en la personne d'Ali Fegan[7], lequel en profite pour demander à Williamson de revenir sur les propos sur la Shoah qu'il avait tenus à Sherbrooke au Québec en avril 1989[8] : il avait alors affirmé que les Juifs étaient les «ennemis du Christ» et que la Shoah était une forgerie fabriquée par les sionistes en vue de la création de l'État d'Israël[9].

A l'époque, ces propos négationnistes avaient alors suscité l'envoi par le président de la conférence épiscopale du Canada, l'archevêque d'Halifax James Martin Hayes, d'un télégramme au Congrès juif canadien désapprouvant ces propos[10].

Le 15 janvier 2009, en prévision de la diffusion, programmée pour le 21 janvier, de l'émission Uppdrag granskning sur le thème de la Fraternité Saint-Pie-X, la chargée des relations avec la presse du diocèse catholique de Stockholm, Maria Hasselgren, diffuse un communiqué dans lequel le diocèse «rejette totalement toute forme de racisme ou d'antisémitisme»[11].

Le 19 janvier 2009, le contenu de l'interview est révélé au public par le magazine allemand Der Spiegel[12].

L'entretien est ensuite diffusé le 21 janvier 2009[6] par la chaîne de télévision suédoise SVT.

«Je crois qu'il n'y a pas eu de chambres à gaz. (…) Je pense que 200 000 à 300 000 Juifs ont péri dans les camps de concentration, mais pas un seul dans les chambres à gaz»[13], tels sont alors ses propos, repris dans l'émission Uppdrag granskning, programme hebdomadaire de la télévision publique suédoise SVT[14].

Les réactions

Tout d'abord, le supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, Bernard Fellay, déclare dans un courrier du 23 janvier à la SVT que R. Williamson était l'unique responsable de ses opinions et que la Fraternité n'avait pas l'autorité pour juger des questions historiques. Ne condamnant pas les propos de son évêque, il estime même «honteux» que l'interview aie porté sur des sujets séculiers «controversés» et non exclusivement sur la religion[15].

Bernard Fellay affirme peu après, le 24 janvier, que la position avancée par R. Williamson n'est pas celle de la Fraternité, que ce dernier «n'engage que sa personne», ajoutant que l'«on va conclure que toute la Fraternité est antisémite», s'«[érigeant] avec véhémence contre une telle accusation»[16].

Le 27 janvier 2009, B. Fellay revient sur les déclarations de R. Williamson, précisant que celles-ci «ne reflètent en aucun cas la position de notre société [sous entendu la Fraternité Saint-Pie X]» et qu'il «lui a interdit, jusqu'à nouvel ordre, toute prise de position publique sur des questions politiques ou historiques». Il demande ensuite «pardon au Souverain Pontife, ainsi qu'à l'ensemble des hommes de bonne volonté, pour les conséquences dramatiques d'un tel acte» au nom de la Fraternité Saint-Pie X.

Dans une lettre adressée au cardinal Dario Castrillon Hoyos[17], prélat en charge au Vatican des négociations avec la FSSPX, Richard Williamson exprime des «regrets sincères» pour les «souffrances» causées au pape Benoît XVI par ses propos «imprudents», sans pour tout autant les rétracter[18]. Ces excuses sont aussitôt jugées «particulièrement insuffisantes» par le Primat des Gaules, le cardinal Philippe Barbarin[19] alors que le porte parole du Vatican, Federico Lombardi rappelle que l'évêque intégriste n'est pas un évêque normal de l'Église catholique[20].

Le Vatican, à nouveau contraint de s'expliquer le 4 février après de vives critiques de la chancelière allemande Angela Merkel, demande à Richard Williamson de renier «publiquement» ses propos sur la Shoah. Le Vatican estime que Richard Williamson doit «prendre sans équivoque et publiquement ses distances» avec ses déclarations sur la Shoah avant d'être admis aux fonctions épiscopales dans l'Église catholique[21]. Ce dernier, loin de se rétracter, réplique plutôt, dans une interview à l'hebdomadaire Der Spiegel le 9 février 2009[22], qu'il va se pencher sur les preuves historiques de l'existence des chambres à gaz avant d'envisager une rectification[23] précisant qu'il n'avait pas lu la littérature sur les camps et qu'il n'avait pas l'intention de se rendre à Auschwitz[24].

Suite à ces propos, la direction de la Fraternité et Richard Williamson s'entendent pour que ce dernier se retire de son poste de directeur du séminaire de la FSSPX de La Reja, en Argentine. [25], [26].

Sommé de quitter l'Argentine par le ministre argentin de l'Intérieur Florencio Randazzo, «sous peine d'être expulsé», Richard Williamson quitte l'Argentine pour Londres, le 24 février[27]. Le 26 février, à la demande conjointe du pape et du supérieur de la FSSPX, Williamson demande pardon à l'Église ainsi qu'aux survivants ainsi qu'aux familles des victimes de l'holocauste pour le «mal» qu'ont fait ses propos à la télévision suédoise. [28].

Le Vatican juge les excuses insuffisantes tant sur la forme que sur le fond et exige que Williamson se rétracte «de façon absolue et sans équivoque (... ) concernant la Shoah» alors que les communautés juives d'Allemagne et d'Italie, rejoints par des représentants d'associations catholiques, n'accordent aucun crédit à ces regrets[29]. La Commission européenne rappelle que le négationnisme est un délit dans plusieurs pays européens[30] et les autorités allemandes songent, elles, à poursuivre l'évêque lefebvriste pour négationnisme[29].

En réaction aux accusations d'insuffisance de communication du porte-parole du Vatican Federico Lombardi, le cardinal Castrillon Hoyos, président de la Commission pontificale Ecclesia Dei, affirme cependant le 17 mars suivant que si Rome avait connu les positions de Williamson avant la levée d'excommunication, elle n'aurait pas demandé sa rétractation «parce que c'est un problème historique, pas moral»[31], estimant d'autre part qu'il n'avait pas à savoir «quelque chose qu'il n'a pas besoin de savoir» car cela relève selon lui du cardinal Giovanni Battista Re, en charge de la vie des évêque[32].

Autres positions

Selon la BBC citée par Le Monde, Richard Williamson a aussi souscrit à l'idée des théorie du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001, accusant les États-Unis de les avoir fomentés[33].

Il accuse le concile Vatican II d'avoir génèré «le chaos théologique que nous avons actuellement» en légitimant une «dictature du relativisme». Williamson se dit aussi «étonné» d'être un objet de polémique : «Visiblement, le catholicisme de gauche n'a pas encore pardonné le fait que Ratzinger soit devenu pape.»[34]. Cet entretien au Spiegel est perçu comme une confirmation des positions de Mgr Williamson[35].

Richard Williamson a publié particulièrement régulièrement des lettres pastorales dont bon nombre depuis les années 1990 peuvent ou pouvaient être consultées sur l'Internet. Le contenu de ces lettres est émaillé de très nombreux propos racistes, sexistes et antisémites[36]. Il est à noter que jamais la FSSPX n'a pris ses distances vis-à-vis de ces déclarations[37].

Levée de l'excommunication

Par décret de la congrégation pour les évêques du 21 janvier 2009 signé par le cardinal Giovanni Battista Re, préfet de la congrégation, l'excommunication qui frappait les quatre évêques consacrés par Mgr Lefebvre, Richard Williamson, Bernard Fellay, Alfonso de Galarreta et Bernard Tissier de Mallerais, est levée de façon unilatérale et sans concession de la part des quatre évêques concernés[38].

La vive émotion qui naît au sein de l'Église catholique, suite aux propos négationnistes de Williamson et face à l'ambiguïté de la position de la FSSPX comparé au concile Vatican II[39], amène Benoît XVI a préciser que la levée de l'excommunication pour les évêques de la Fraternité Saint-Pie-X (FSSPX) «ne signifiait pas de soi le retour à la pleine communion du mouvement intégriste, et qu'elle ne pouvait se faire que dans le respect de l'enseignement du Concile Vatican II»[40].

Publications

Notes et références

  1. QIEN
  2. Mgr Williamson relevé de son poste de directeur de séminaire sur http ://www. dici. org/. Consulté le 9 février 2009
  3. "Holocaust-denier removed from Argentine seminary" Reuters, Reuters, Feb. 8, 2009
  4. Bringe den Seelen das Licht Christi, Bericht Laber-Zeitung, 3. Nov. 2008, reproduit sur la page «Nachrichten» du site internet du séminaire, consultée le 3 février 2009
  5. Calendrier de la Wochenbrief N°16 du séminaire, consulté le 3 février 2009.
  6. Richard Williamson, le prélat par qui le scandale arrive, portrait de Richard Williamson, La Vie, publié 28 janvier 2009 - n° 3309
  7. Svenska Dagbladet, "Vatikanen anklagar SVT för kupp mot påven", 3 février 2009 : http ://www. svd. se/nyheter/utrikes/artikel_2417671. svd
  8. Peter Wensierski, «Wie die Piusbrüder gegen Juden, Muslime und Schwule hetze», Der Spiegel, 3 février 2009. Le détail des propos de Richard Williamson en 1989 se trouve aussi dans «Le négationnisme de Richard Williamson. Une analyse», PHDN, 2009.
  9. Craig Whitlock, Holocaust Denier Is Ordered To Recant, in Washington Post, 05/02/2009, article en ligne
  10. Michæl McAteer, "Chief Canadian bishop denounces clergyman's anti-Jewish comments", The Toronto Star, 14 avril 1989, article en ligne
  11. «Vi tar fullständigt avstånd från alla former av rasism och antisemitism», site internet du diocèse, http ://www. katolskakyrkan. se/Turnpike. aspx?id=1079 consulté le 4 février 2008
  12. Peter Wensierski, Problem für den Papst, Der Spiegel, N° 4/2009 du 19 janvier 2009, page 32 : http ://wissen. spiegel. de/wissen/dokument/dokument-druck. html?id=63637421&top=SPIEGEL
  13. Retranscription complète de l'interview, en français, et analyse dans «Le négationnisme de Richard Williamson. Une analyse», PHDN, 2009.
  14. Un évêque négationniste va être réhabilité Le Nouvel Observateur le 23 janvier 2009
  15. Fac-similé de la lettre de Bernard Fellay, in The Remnant newspaper, 23/01/2009 ; voir aussi Le Nouvelliste du 26 janvier 2009, p. 6, ou La Croix qui présentent une version différente de la réaction de B. Fellay, datée du 24 janvier.
  16. Réintégration de la Fraternité Saint-Pie-X : les membres de la communauté saluent la décision du Pape, Le Journal de 19 :30 sur la TSR
  17. http ://dinoscopus. blogspot. com/2009/01/letter. html
  18. L'évêque négationniste exprime ses "sincères regrets" au pape, agence AFP, 30/01/2009 dépêche en ligne
  19. Négationnisme : les excuses de Williamson "insuffisantes" pour le cardinal Barbarin, agence AFP, 31/01/2009dépêche en ligne
  20. L'évêque négationniste a des «regrets»in Le Parisien, 31/01/2009, article en ligne
  21. Evêque négationniste : le Vatican à nouveau contraint de s'expliquer, 04/02/2009, article en ligne
  22. (de) Peter Wensierski, Steffen Winter, «Nach Auschwitz werde ich nicht fahren», Der Spiegel, 9 février 2009, p.  20, sur le site wissen. spiegel. de, consulté le 2 mai 2009 ; traduction (fr) Peter Wensierski, Steffen Winter, «Richard Williamson : «Je n'irai pas à Auschwitz»», Michel Beuret, L'hebdo, 12 février 2009, sur le site hebdo. ch, consulté le 2 mai 2009
  23. «Il s'agit de preuves historiques, pas d'émotions. Et si je trouve des preuves alors je rectifierai. Mais cela va prendre du temps», affirme-t-il dans une interview à l'hebdomadaire Der Spiegel le 9 février 2009; in «L'évêque négationniste Richard Williamson persiste et signe», Le Monde, 7 février 2009
  24. Article dans Libération
  25. Mgr Williamson relevé de son poste de directeur de séminaire sur http ://www. dici. org/. Consulté le 9 février 2009
  26. http ://www. reuters. com/article/topNews/idUSTRE5180FH20090209 "Holocaust-denier removed from Argentine seminary"], Reuters, Feb. 8, 2009
  27. Sommé de partir, l'évêque négationniste Williamson a quitté l'Argentine, in cyberpresse, 24/02/2009, article en ligne
  28. «Le Saint-Père et mon supérieur, Mgr Bernard Fellay, m'ont demandé de reconsidérer les remarques que j'ai faites à la télévision suédoise il y a quatre mois, à cause de leurs si lourdes conséquences», souligne Mgr Williamson dans un communiqué publié à son arrivée à Londres. Il ajoute aussi qu'«en examinant ces conséquences, je peux dire sincèrement que je regrette d'avoir fait ces remarques, et que si j'avais su à l'avance tout le mal et les blessures qu'elles allaient susciter, particulièrement pour l'Église, mais également pour les survivants et les familles des victimes de l'injustice sous le Troisième Reich, je ne les aurais pas faites»; Mgr Williamson demande pardon à l'Église ainsi qu'aux victimes de l'Holocauste, in agence Zenit, 26/02/2009, article en ligne
  29. L'étau se resserre autour de Mgr Williamson, in Le Figaro, 28/02/2009, en ligne
  30. Négationnisme : les regrets de l'évêque Williamson ne convainquent pas, agence AFP, 28/02/2009, dépêche en ligne
  31. Déclaration dans El Tiempo, 17/03/2009, cité par La Croix, 17/03/2009, article en ligne
  32. Andrés Gomez Osorio, 'Imprudente'fue portavoz del Vaticano en caso d'obispo que niega el Holocausto : Darío Castrillón, 17/03/2009, cité par La Croix, en ligne
  33. http ://www. lemonde. fr/europe/article/2009/02/25/nouvelle-charge-de-la-presse-britannique-contre-l-eveque-williamson-de-retour-a-londres_1160106_3214. html#ens_id=1145640
  34. "L'évêque négationniste Richard Williamson persiste et signe", Lemonde. fr http ://www. lemonde. fr/europe/article/2009/02/07/l-eveque-negationniste-richard-williamson-persiste-et-signe_1152393_3214. html
  35. «Et désormais der Spiegel !», abbé de Tanoüarn, 7 février 2009
  36. Voir les nombreuses citations relevées dans «Richard Williamson, un fanatique», PHDN, 2009.
  37. «Richard Williamson, un fanatique», PHDN, 2009.
  38. http ://212.77.1.245/news_services/bulletin/news/23250. php?index=23250&lang=fr
  39. Stéphanie Le Bars, Le scepticisme des catholiques après la réintégration des évêques intégristes, in Le Monde, 26/01/2009, article en ligne
  40. La Croix 28/01/2009">Isabelle De Gaulmyn, Benoît XVI s'explique sur la levée des excommunications, in La Croix, 28/01/2009, article en ligne

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